Les vidéos du Toulouse Hacker Space Factory (THSF) à revoir sur TV Bruits
Le Toulouse Hacker Space Factory (THSF) explore depuis 2010 les espaces de dérivation de l’emprise des technologies sur nos vies, en particulier celles en mutation du monde numériques et cybernétique. Les vidéos des interventions sont disponibles sur le site de TV Bruits https://tvbruits.org/spi...
FMR a fêté ses 40 ans à Borderouge
Le temps passe et FMR a 40 ans déjà. La radio toulousaine avait fêté cela au Bikini le 27 novembre 2021 avec une grande soirée de concerts. Le Bikini et FMR s’est aussi une belle et tumultueuse histoire que nous racontent Hervé Sansonetto et Pierre Rogalle dans un documentaire réalisé par TV Bru...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...
Install-party samedi 18 juin à Tournefeuille
Vous voulez déconfiner durablement vos ordinateurs ? Envie de découvrir une informatique libre, éthique et accessible ? Vous vous sentez une affection naissante pour les gnous et les pinguins ? L’association Toulibre vous propose de venir découvrir les Logiciels Libres, et comme le premier pas v...
Également au programme - BULLITT
(ROBBERY) Peter YATES - GB 1967 1h54mn VOSTF - avec Stanley Baker, James Booth, Barry Foster, William Marlowe, Frank Finlay... Scénario d’Edward Boyd, Peter Yates et George Markstein, inspiré par le « casse du siècle » : l’attaque du train postal Glasgow-Londres en 1963.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Après The Wicker man (Robin Hardy, 1973) il y a quelque temps, l’excellent distributeur Lost Films remet en lumière un autre bijou du cinéma britannique, à ranger aux côtés des trésors cachés et autres merveilles oubliées. Sorti en 1967, Trois milliards d’un coup, plus so(m)brement titré Robbery (« cambriolage ») dans sa version originale, est le troisième film de Peter Yates, grâce auquel le cinéaste va acquérir une réputation internationale : Steve McQueen, impressionné par les séquences d’action qui rythment le film, convie Yates l’année suivante à Hollywood pour réaliser Bullitt, dont on retient souvent l’inoubliable séquence de course-poursuite. Or, cette dernière apparaît en germination dans Trois milliards d’un coup, et non pas dans son dernier tiers, à la façon d’un climax qui enfoncerait le clou du spectacle, mais à son tout début ! Et quelle course-poursuite ! Échevelée, dingue, violente, spectaculaire : un authentique coup d’éclat qui introduit un récit fascinant, en perpétuelle réinvention de lui-même.
Parfaitement moderne dans son traitement, le scénario de Trois milliards d’un coup tient de la chronique criminelle plus que du thriller classique : réalisme sec, polyphonie éclatée, ellipses brutales… Tout en s’inspirant de l’authentique braquage du train Glasgow-Londres, Yates semble vouloir offrir une synthèse du cinéma d’action des années 1960 : recrutement d’un gang-commando, préparation du hold-up, évasion, attaque du train postal… Tout y est. Un braquage en règle, action et suspense garantis !
(Nicolas Tellop, La Septième Obsession)